Tag: vigilance moustiques

  • SLAP MOSQUITOES, l’Appli moustiques qui fait le “bzzzzzzzz”

    SLAP MOSQUITOES, l’Appli moustiques qui fait le “bzzzzzzzz”

    SLAP MOSQUITOES : l’heure de la revanche a sonné !
    Jouer pour apprendre à se défendre contre les moustiques, même le moustique tigre.

    SLAP MOSQUITOES, c’est le traitement recommandé à tous ceux que les moustiques rendent fous, ceux qui ont la haine contre ces culicidae qui vous bzzzzzzzzzz toute la nuit et piquent en traîtres, ceux pour qui un “bon moustique” est un moustique mort !

    Cet été, l’appli qui tue, c’est celle qui tue… les moustiques : SLAP MOSQUITOES

    Dans un jeu d’arcade en 2D au design léché, SLAP MOSQUITOES met en scène Slapman, un jeune garçon inspiré de l’univers manga, qui combat d’immondes moustiques dangereux, capables de tuer dès la 1ère piqûre.

    Ready to slap

                             

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    SLAP MOSQUITOES : Un jeu pédagogique

    SLAP MOSQUITOES est une application mobile très ludique, “mais pas que…”. Si elle fait monter l’adrénaline des joueurs, elle présente aussi un vrai contenu pédagogique. Construit autour de quatre prédateurs nommés ASSLEX (traduction assez libre de CULEX), MALARIAX, TIGER MOSQUITO ou ZOMBIE, le jeu explique au travers de leur biographie, l’univers et la dangerosité des moustiques ainsi que les risques sanitaires qu’ils représentent. Car ils ont tous un “viral power” !

    – ASSLEX représente la famille des Culex dont fait partie le Culex Pipiens, moustique commun et pourtant capable de transmettre le West Nile virus, virus endémique dans toute l’Amérique du Nord et dans une partie de l’Europe.
    – MALARIAX représente l’Anophèle, l’espèce principale porteuse de la malaria (autrement dit, le paludisme), la principale raison qui fait du moustique l’animal le plus dangereux pour l’homme (800000 morts en 2013).
    – TIGER MOSQUITO (moustique tigre en Français), et ses deux variantes Aedes Albopictus et Aedes Aegypti peuvent transmettre les virus de la dengue, du chikungunya et du zika.
    – ZOMBIE, dit “le Boss”, est un moustique contaminé. Il illustre le fait que pour qu’un moustique puisse transmettre une maladie, il faut d’abord qu’il soit infecté lui-même en ayant piqué auparavant un être vivant porteur du virus.

    Slap foret Slap plage

     

     

     

    SLAP MOSQUITOES est une application destinée aux jeunes comme aux adultes qui ne manque pas de piquant ! Si elle sensibilise les joueurs à la problématique des moustiques, elle porte également un message de prévention assorti des principaux conseils pour se protéger des moustiques :
    – Protections spéciales : des lotions pour la peau contenant un principe actif reconnu comme l’IR3535.
    – Tenue de combat : porter des vêtements longs, amples et clairs.
    – Conseil de survie : dormir sous une moustiquaire imprégnée d’anti-moustiques à l’efficacité prouvée (le citriodiol par exemple)
    – Tuer dans l’œuf : éliminer les eaux stagnantes, c’est là que les femelles pondent leurs œufs qui deviendront des centaines de moustiques.

    SLAP MOSQUITOES : Une création engagée

    L’application a été financée par Manouka, l’expert anti-moustiques, une marque d’anti-moustiques qui suit une démarche marketing originale et engagée dans :
    la lutte contre le paludisme dans des pays en situation d’urgence
    la pédagogie citoyenne en tant que sponsor officiel et fondateur du plan Vigilance-moustiques

    Avec SLAP MOSQUITOES, Manouka joue le jeu d’une communication décalée vers les jeunes, en assumant une présence intégrée dans le “game play” (son bracelet donne des pouvoirs magiques à Slapman).

    Crédits
    Les auteurs de SLAP MOSQUITOES assument la responsabilité artistique de la création de l’application
    – Auteurs-compositeurs : Antoine SIMONOTTI, Pierre VASSEUR, Stéphane ROBERT
    – Design : Wazo
    – Développement : Digitalmania
    Vigilance-moustiques SAS, éditeur de l’application, a apporté son savoir-faire dans la rédaction du contenu pédagogique de la biographie des moustiques.

     

  • Cas importés de dengue et de chikungunya en France métropolitaine : la situation au 25 juillet

    Cas importés de dengue et de chikungunya en France métropolitaine : la situation au 25 juillet

    Cas importés de Dengue et Chikungunya en métropole : la situation région par région au 25 juillet 2014

    L’institut de Veille Sanitaire vient de publier les dernières données de surveillance renforcée de la dengue et du chikungunya en France métropolitaine.
    Ces chiffres montrent en premier lieu une nette augmentation du  nombre de cas de chikungunya par rapport à 2013, qui avaient surtout vu des cas importés de dengue (188 cas de dengue et 2 cas de chikungunya).

    Du 1er mai au 25 juillet, 565 cas suspects ont été déclarés par les différentes ARS concernées, dont 251 ont été confirmés :
    58 cas de dengue, 189 cas de chikungunya (soit 75% des cas recensés). Aucun cas autochtone n’a été déclaré (source InVS). On note une progression constante du nombre de cas importés. La région PACA totalise à elle seule près d’un tiers des cas confirmés.

    Carte cas de dengue et de chik vierge

     

    Tableau cas de dengue et de chik

    Vigilance-moustiques renouvelle ses conseils de protection aux voyageurs :

    1-Etre vigilant toute la journée : le vecteur de la dengue (l’AedesAlbopictus dit  le moustique tigre), est un moustique urbain, qui pique aussi le jour. Il ne suffit pas d’être vigilance le matin ou le soir…

    2-Utiliser des lotions pour la peau fabriqués à partir de principes actifs reconnus pour leur efficacité (IR3535, ICARIDINE ,CITRIODIOL, DEET…)

    3-Porter des vêtements longs, amples et clairs, éventuellement imprégnés de produits spécialement développés pour les vêtements et tissus.

    4-Dormir sous des moustiquaires imprégnées de répulsifs anti-moustiques. Des moustiquaires pourront aussi être installées aux portes et aux fenêtres.

    5-En cas de poussée de fortes fièvres, de douleurs  articulaires ou musculaires…, n’hésitez pas à consulter un médecin immédiatement.

  • L’EQUIPE DE FRANCE REÇOIT LES CONSEILS DE VIGILANCE MOUSTIQUES AVANT LE MONDIAL DU BRÉSIL

    France, le Vendredi 13 Juin 2014
    Chère Equipe de France,
    Vous êtes au Brésil, où une épidémie de dengue joue à domicile, en particulier dans certaines villes où vous allez jouer (comme RIO où se joue la finale !).

    VIGILANCE-MOUSTIQUES souhaite apporter sa pierre à votre réussite et vous donne quelques conseils tactiques pour une bonne défense contre les moustiques :
    1- REQUIPE DE FRANCEestez attentif de jour comme de nuit : le moustiqutigre (enfin son cousin qu’on trouve en Amérique) ne            prend pas de repos.

    2- Demandez à votre équipementier des vêtements                longs, amples et clairs, que vous pouvez
    même imprégner de produits spéciaux pour les tissus :          certes, pour jouer au football, ce n’est pas simple, mais il      faut savoir ce que l’on veut. Et pour les sponsors, vous          n’avez qu’à les recoudre par-dessus…

    3- Mettez des lotions pour la peau avec un principe actif      reconnu efficace (IR3535, Icaridine…).
    Si vous transpirez (ce qui peut vous arriver ;-)) n’hésitez pas à vous en remettre autant      que de besoin. A tout hasard, nous vous envoyons 30 flacons de lotion tropicale + 30          flacons de lotion « vêtement-tissus » de notre sponsor MANOUKAL’expert anti-                 moustiques, qui a passé tous les tests d’efficacité nécessaires pour être vendu en               pharmacie, y compris contre le moustique tigre.
    4- Utilisez les moustiquaires imprégnées de produits anti-moustiques comme la perméthrine. Attention, vous n’êtes pas obligé de jouer avec, c’est juste la nuit, pour vous protéger quand vous êtes dans votre lit, pour dormir ou bien pour….réviser vos prochains matchs.
    5- Pour faire monter l’adrénaline et vous défouler, vous pouvez enfin télécharger l’application « Slap Mosquitoes » : vous verrez, vous pouvez tuer un maximum de moustiques en les écrasant à coups de poing magiques…Les Asslex
    (traduction assez libre de « Culex » en Français), les Malariax et autres Zombies explosent littéralement sous vos frappes.

    On vous souhaite bien-entendu le meilleur, mais attention : vous aussi, vous pouvez nous rendre « dengue » !
    Allez les Bleus !!!

  • iMoustique, une application mobile pour signaler les moustiques tigres

    iMoustique, une application mobile pour signaler les moustiques tigres

    Moustique tigre : une appli-mobile pour déclarer des signalements de moustique.

    L’EID Atlantique a pris une bonne initiative, avec son appli-mobile Imoustique sur IOS, qui permet tout simplement de déclarer très rapidement un signalement de moustique. Aujourd’hui, le terminal moderne pour inciter le grand public à partager de l’information (et en particulier des photos), c’est le smartphone. (Presque) tout le monde en a 1, il ne nous quitte quasiment plus et la qualité technique des appareils et des réseaux permet de prendre et de transmettre d’excellentes photos ou vidéos.

    Un satisfecit donc à l’EID Atlantique qui a développé cette application mobile I-moustique. Pourquoi c’est utile ?

    Parce que cela peut permette d’améliorer notre système de veille des espèces dangereuses. Aujourd’hui la surveillance de ces espèces consiste essentiellement dans  l’installation de nids pondoirs, qui fonctionnent comme des pièges, dans les zones sensibles. Les moustiques femelles sont tentés de venir y pondre leurs œufs, et des entomologistes appartenant à des organismes publics spécialisés (comme l’EID Atlantique) viennent  régulièrement surveiller ces pièges, pour voir les espèces qui s’y font prendre. C’est indispensable, mais cela n’est pas suffisant. A ce dispositif, il faut ajouter ce que l’on appelle la veille citoyenne ! Celle-ci prévoie d’associer le grand public à l’effort de vigilance contre les moustiques, et en particulier les espèces vulnérantes ou potentiellement dangereuses.  Sachant que la France et les Français vont devoir apprendre à vivre avec de plus en plus d’espèces de moustiques potentiellement dangereuses en métropole, chacun d’entre nous devrait : -savoir ce qu’il faut faire pour éviter qu’ils prolifèrent sur notre lieu d’habitation (éviter les retenues d’eau dans son jardin, sous les pots de fleurs etc…) -contribuer à la surveillance en prenant en photo des espèces de moustiques particulières ou des situations inhabituelles de prolifération qu’il peut observer dans son environnement de vie.

    I-moustique, comment ça marche ?

    C’est très simple, à condition d’avoir un Iphone : vous allez sur l’APPSTORE où sont stockées toutes les applications possibles et imaginables et vous téléchargez « IMoustique ». En suivant tout simplement le déroulement  qui vous est proposé, vous pourrez : –  signaler un moustique (le moustique tigre  ou d’autres : il faut savoir que l’EID Atlantique régule déjà 12 espèces de moustiques … !) en le prenant en photo avec votre smartphone : l’application vous permettra d’envoyer ensuite automatiquement votre signalement à l’EID Atlantique qui confirme que tout signalement envoyé reçoit une réponse ! – en savoir un peu plus (de vous-même) sur les moustiques, avec des fiches espèces qui permettent de mieux connaître les moustiques qu’on rencontre sur la façade Atlantique, des conseils sur les bons gestes à connaître etc…. Bref, un seul regret ! Que cette application ne couvre pas les espèces  qu’on trouve dans toute la France.

    imoustique_petit©

     

  • VIGILANCE CITOYENNE CONTRE LE MOUSTIQUE TIGRE: LES 4 GESTES QU’IL FAUT CONNAÎTRE

    Quels sont les 4 gestes de la vigilance citoyenne?

    1-Le premier axe de vigilance concerne d’abord et avant tout les « gîtes larvaires » : ces retenues d’eau où les moustiques femelles pondent leurs centaines d’œufs.

    C’est pourquoi toutes les collections d’eaux « calmes » doivent être surveillées, renouvelées ou tout simplement vidées. Elles peuvent être :

    • Naturelle : creux d’arbre, marécage, inondation
    • Accidentelle : travaux…
    • Urbaine (le moustique tigre en particulier est une espèce qui se développe dans les milieux urbains, dans les jardins (privés ou publics) mais aussi dans les jardineries professionnelles
      • Coupelles sous les pots de fleurs, canalisations d’eaux usées ou gouttières bouchées, pneus usagés, vases (pensez à changez l’eau une fois par semaine minimum), bidons, bâches, poubelles à ciel ouvert, brouette, et tout objet susceptible de retenir de l’eau de pluie : il suffit de très peu !
      • Les récipients impossibles à vider (puits, cuves de récupération d’eaux de pluie) peuvent être couverts de toiles de moustiquaire.

    2- Si vous voyez un moustique tigre, prenez le en photo avant de l’éliminer. Veillez à ce que la photo soit nette et prise de suffisamment près.

    3- Envoyez la photo aux organismes compétents (signalement-moustiques.fr), chargés d’enregistrer officiellement la présence du moustique tigre partout où il se trouve. Vous pouvez aussi déclarer un cas sur vigilance-moustiques.com, nous nous chargerons de transmettre votre témoignage.

    4-Si vous en avez vu 1, cherchez s’il n’y en a pas d’autres. Le moustique tigre a une courte portée de vol 100-200 mètres…Il est né quelque part pas loin, au milieu des dizaines d’œufs pondus quelques jours plutôt par une moustique femelle. Il peut être utile de localiser la retenue d’eau qui a permis cette ponte et de l’éliminer.

    La vigilance est la première défense contre la prolifération des moustiques ! Or, les moustiques ne connaissant pas la frontière public-privé, ils trouvent ces retenues d’eau dans des espaces publics (jardin, bâtiments…) ou privés (jardins privés, co-propriétés, vide sanitaires…). Les pouvoirs publics se chargeant des domaines publics, les personnes privées doivent s’organiser pour gérer leurs espaces privés…

    C’est pourquoi nous militons pour la vigilance citoyenne ; Plus nous serons nombreux à être vigilants, plus nous serons efficaces !

  • La saison des moustiques 2014 a démarré plus tôt

    La saison 2014 s’annonce avec un certain nombre de spécificités : une certitude, un questionnement et des raisons d’être vigilants

     

    La certitude : la saison des moustiques a démarré plus tôt que d’habitude.

    Il ne faut pas prendre 2013 en référence, année  lors de laquelle la saison a démarré tard (Juin), après un Printemps très frais. Mais alors qu’habituellement, la saison des moustiques commence en plutôt en Avril, les différents EID (Entente Interdépartementales de démoustication) constatent dès maintenant dans le Sud de la France que la saison a bel et bien démarré, depuis une quinzaine de jours : l’hiver a été doux (et pluvieux dans certaines régions), et les premières chaleurs arrivant, avant même le Printemps, les premiers moustiques apparaissent.

     

    Saison des Moustiques : Ça démarre avec les espèces hivernales

    Les espèces hivernales de moustiques sont d’abord celles dont les larves sont mises en eau en Hiver et qui profitent des premiers radoucissements de températures. Cette année, l’hiver a été si doux que dans certaines régions dites sensibles, les traitements anti-larvaires ne se sont jamais arrêtés.

    Autres moustiques précoces : les femelles adultes qui sont rentrées cet hiver dans les maisons pour se cacher dans un grenier et « hiverner » : celles-ci sortent dès les premières chaleurs de leur état de léthargie. Elles vont ensuite commencer à pondre et lancer la prochaine génération de moustiques.

    Enfin, il existe un autre genre de moustique « précoce », comme les « culex pipiensmolestus », qui apparaissent plus tôt car ils sont « autogènes ». Principalement installés en milieu urbain, ils trouvent souvent leur repère dans un vide sanitaire (la présence de moustiques signale souvent un problème de plomberie !), et parviennent à se régénérer sans piquer. En effet, le milieu dans lequel ils restent confinés ne leur donne pas l’occasion de rencontrer des « hôtes » à sang chaud, et ils se nourrissent simplement des matières organiques qu’ils trouvent dans les eaux qui les entourent. Les larves issues de cette reproduction deviennent des adultes souvent très agressifs, qui piquent volontiers et fort.

     

    Aurons-nous plus de moustiques cette année ?

    Le cocktail explosif, c’est bien « beaucoup d’eau » puis « de la chaleur ».

    Il a beaucoup plu cette hiver dans certaines régions de France (notammentsur la façade ouest du pays et du Sud-Est, alors que les précipitations sont restées très déficitaires de l’Hérault aux Pyrénées-Orientales ainsi que dans le Nord-Est», indique le bilan de Météo-France).  Dans ces régions très arrosées, enmilieu continental, cela occasionne bien-entendu de nombreuses retenues d’eau, lesquelles deviennent  potentiellement autant de gites larvaires. D’ici l’été, il peut bien sûr encore pleuvoir sur les autres régions ; les observations faites sur les années précédentes qui ont connu, comme cette année,  un hiver très doux, augureraient d’un printemps doux et orageux avec un mois de Mai sec et chaud. Mais encore une fois, ce ne sont que des prévisions.

    Question chaleur, on sait que la prochaine génération de moustiques dépend de la mutation des larves, laquelle nécessite environ 10 jours de chaleur consécutifs, avec des températures de 23°C de jour, et 15°C minimum la nuit.

    Cette donnée-là est évidemment encore incertaine et conditionne donc « l’aspect quantitatif de la saison des moustiques 2014 »….

    Une chose est sûre : le fait que la saison démarre plus tôt constitue « mécaniquement »  un facteur de risque supplémentaire pour qu’il y ait plus de moustiques cette année, mais en aucun cas une certitude.

     

    2014 : Une vigilance particulière sur les risques épidémiques liés aux moustiques

    Cette année, la France devra être particulièrement vigilante sur les risques épidémiques liés aux moustiques, pour deux raisons :

    1-la région des Antilles continue de connaître des épisodes épidémiques de dengue et de chikungunya assez significatifs, et ces virus commencent à se répandre en Amérique du Sud : Guyane, ….et bien-entendu le Brésil qui connaîtdes problèmes de moustiques importants et récurrents…

    2-les échanges avec cette partie du monde vont connaître un pic inhabituel jusqu’à la coupe du monde de football (Juin, Juillet), et ce sont ces échanges qui nous apportent notamment « les cas importés » de virus comme la dengue ou le chikungunya.Chaque année, ce sont en effet plusieurs centaines de « cas importés » qui sont recensés en Métropole, et cette année risque donc de voir ce nombre sensiblement augmenter. Or, ce sont ces cas importés qui risquent ensuite de déclencher des « cas autochtones », c’est-à-dire des cas transmis en France : un moustique vecteur (comme le moustique tigre) pique un « cas importé », contracte le virus, et le recrache ensuite en piquant un nouvel « hôte » qui contracte à son tour le virus : il devient « un cas autochtone ». Au bout de deux cas autochtones liés géographiquement, on parle d’un foyer « épidémique ».

     

    La France a mis en place un système de surveillance sanitaire dans le cadre du plan national anti-dissémination de la dengue et du chikungunya , qui prévoie dans 18 départements où le moustique tigre a été déclaré « implanté et actif » des dispositifs spécifiques de surveillance :

    -sensibilisation des professionnels de santé et des laboratoires d’analyse

    -déclaration et analyse accélérée des cas suspects (poussée brutale de fortes fièvres…)

    -désinsectisation localisée autour des cas avérés,

    -communication vers les populations concernées…

    En 2013, la France a connu un « cas autochtone », déclaré dans les Bouches du Rhône.

     

    Bilan de la saison des moustiques 2013

    Le palmarès de nombre de cas déclarés en 2013 sur le site vigilance-moustiques fait apparaître 5 départements en haut du classement :

    1. La Gironde  et Les Bouches du Rhône (exæquo)
    2. Var
    3. Landes
    4. Alpes-Maritimes

     

    Vigilance-moustiques : le 13 Mars 2014

     

    Liste des 18 départements  où le moustique (tigre) représente officiellement une menace pour la santé de la population: Alpes de Haute Provence, Alpes Maritimes,  Ardèche, Aude, Bouches du Rhône, Corse du Nord et du Sud, Drôme, Gard, Gers, Gironde, Héraud, Isère,  Lot et Garonne, Pyrénées Orientales, Rhône, Var, Vaucluse.

  • COMMUNIQUE DE PRESSE – 8 Juillet

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Vigilance-moustiques.com suscite la polémique et fait l’objet de critiques issues de certains organismes publics responsables de la surveillance et de la démoustication en France.

    Nous comprenons que notre initiative les dérange.

    Nous rappelons ici que vigilance-moustiques.com est un site d’information indépendant.  Notre financement de lancement a été assuré par un laboratoire qui fabrique un anti-moustique, mais doit provenir le plus rapidement possible des recettes publicitaires que génèrera le site.

    Nous publions nos informations en appliquant à nous-mêmes des règles déontologiques strictes (lire…).

    Nos données viennent de plusieurs sources :

    • Des docteurs en parasitologie ou en virologie qui ont apporté leur concours scientifique dans la rédaction du contenu éditorial
    • Le Grand Public avec l’aide de sentinelles réparties dans toute la France, dans le but de ne publier que des informations vérifiées…(Lire…)
    • Les organismes officiels dont nous rappelons encore une fois  que vigilance-moustiques est indépendant

    (Lire la suite)

  • Quelles sont nos sources ?

    Les données publiées sur le site viennent de plusieurs sources :
    i. Des docteurs en parasitologie ou en virologie qui ont apporté leur concours scientifique dans la rédaction du contenu éditorial
    ii. Les organismes officiels (Agences Régionales de Santé, Centre National d’Expertise contre les Vecteurs, Ententes Inter-départementale de démoustication…), dont nous rappelons ici que vigilance-moustiques est indépendant. Pour en savoir plus, lire la suite…
    iii. Certains médias spécialisés ou régionaux
    iv. Le Grand Public avec l’aide de sentinelles réparties dans toute la France, dans le but de ne publier que des informations vérifiées…

    Lire la suite…