Le réchauffement climatique augmenterait le risque d’arrivée de nouveaux virus en France. L’insectarium de l’institut Pasteur répond à vos questions.
La Réunion, les Antilles et la Polynésie ont été l’année dernière fortement touchées par des épidémies de chikungunya. Ainsi, les déplacements entre les territoires Outre-mer et la Métropole favorisent de manière importante l’apparition des moustiques vecteurs de virus dans les zones tempérées.
Anna-Bella Failloux, chef de l’unité de Recherche et d’expertise arbovirus et insectes vecteurs à l’Institut Pasteur, explique à travers cette vidéo que les déplacements ne sont pas les seuls facteurs. En effet, le réchauffement climatique pourrait avoir un rôle important dans la recrudescence des virus tropicaux en métropole.